Sa majesté, Ren Okazaki, le tombeur de ces dames.

Le Personnage.

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Spoiler:

Nom : Okazaki / Redfield.
Prénom : Ren.
Surnoms : Majesté, votre Altesse, Excellence. Ses fans ont tendance à employer le suffixe « sama » quand ils s’adressent a lui.
Age : 18 ans
Civilité : Homme
Année : 3eme année.
Sections : Scientifique, option arts. Président du comité de l’association des élèves. Chef du club de karaté.
Signe Astro : Scorpion.

Son Histoire

Vous voulez connaître mon histoire ? Vous en êtes sûrs…Hein…Certains ? Ok c’est parti alors, mais j’espère que vous avez le cœur bien accroché car certaines séquences de mon passé peuvent être choquante.

Spoiler:

Journal de bord. 1er novembre 1990. New York city

Tout commença ce jour la…Le meilleur pour certains, le pire pour d’autres.
~~~~~~
Une petite clinique dans un sale coin des Etats unis. Je ne saurais vous donner son nom…Tout ce que je pourrais dire, c’est qu’elle est situé a New York, dans un Bronx mal famé.
00h07.
- Quelques putains faisaient les trottoirs…Des anciennes amies de « ma mère », sûrement. C’est a cette heure la que j’inspirait ma première bouchée d’oxygène…je vivais ma première minute sur cette terre.
Je pense qu’on va ignoré ce moment de ma vie, car à vrai dire, .je ne m’en souviens plus beaucoup .

Journal de bord. Août 1992. Californie.

Nous sommes aujourd’hui chez les…chez les quoi déjà ? Ma foi, je crois que j’ai même oublié leur nom !
Reprenons, j’étais à cette époque âgé de presque deux ans. Vivant dans une magnifique villa en Californie, j’avoue que j’aimais cette époque insouciante...gaie et agréable. Les gens chez qui je crécher, mes parents quoi, m’apportaient beaucoup d’affection, mis à part quelques petits détails que nous verrons plus tard.
Des petits détails qui ne m’inquiétaient pas, à l’époque.
J’aimais beaucoup jouer a cache-cache avec ma mère, et regarder mon père pêcher. Je me souviens même, que le premier mot que j’ai prononcer, à exactement 7 mois était « poisson ».
Tout allait pour le mieux, on formait une famille parfaite. Mes parents étaient beaux, riches, intelligent, et moi j’étais, selon eux l’enfant le plus adorable de la terre. En bref, j’étais heureux.
« Papa » était un biologiste assez connu aux USA, il trouvait beaucoup de remèdes à des maladies incurables comme le cancer.
« Maman » était une passionnée de la biologie aussi, mais elle, s’intéressait plutôt aux expériences telles que le clonage, comment immuniser un être humain à 100%. Des délires complètement irréalistes grosso modo.

J’en viens maintenant à ces « petits détails » que je négligeais à l’époque…je trouvais ça normal moi, j’aimais mes parents, c’était donc tout a fait normal que je leurs rendre service non ?
Dès l’âge de un an, je suis devenu leur cobaye humain. Cobaye dans le sens propre du terme. Ils essayaient toutes leurs expériences sur moi. Quand mon père créait un antidote pour des maladies mortelles, il les testait d’abord sur moi. Tout le monde connais le principe d’un vaccin je suppose, donc je me retrouvais parfois entre la vie et la mort à cause de sa bêtise.
Ma mère, elle, se servait de mes cellules et de mon corps pour créer des inventions farfelues…Elle a même réussi à créer un animale comprenant notre langue grâce a mon ADN.
Mis à part tous ces tests, mes parents m’ont aussi parfois disséqué quelques parties du corps, allez donc savoir pourquoi. J’avoue que je n’ai jamais compris.

Journal de bord. 20 novembre 1996.

Ce jour la, je venait d’avoir 6ans. A 6ans, on devient un peut plus lucide qu’a 2ans, on conçoit plus la douleur, et on fait mieux la différence entre le bien et le mal. On devient un « grand garçon » quoi.
C’est a cet âge la que j’ai tenté de me rebeller. Mon corps meurtri me faisait pitié. Comment allais-je plaire aux filles dans cet état ?!
Alors j’ai tenté de convaincre mes parents d’arrêté de me faire subir toutes ces horreurs, que pour moi tout cela ne me montrait en rien qu’ils m’aimaient. Les convaincre était trop difficile pour le p’tit gars que j’étais. Alors j’ai détruit tout leur labo, j’ai mis le feu partout ! Tous ces sujets d’expériences partis en fumée… Je crois que ça ne leur a pas plut….

Journal de bord, un jour, en décembre 1996.

Par une froide nuit d’hiver, je me trouvait la recroquevillé sur moi même. « La »…je dis « la » car je ne savais pas du tout ou je me trouvais.
Je me souviens de ce froid, la neige envahissait tout le paysage, elle s’étalait à perte de vue, à un tel point que l’on ne savait même pas si il y’avait des habitations dans le coin.
Ce jour la je ne me souvenais même pas de qui j’étais. Même mon nom ne me revenait pas, mon âge non plus et ma famille encore moins. Allez donc savoir ce que mes parents adoptifs m’avaient fait subir…
Sans mémoire, j’avançais, je m’enfonçais pas à pas dans ce tableau blanchâtre. A bout de force, je me souviens m’être écroulé dans cette neige si onctueuse…
A cet instant je me suis vu partir.

Journal de bord.

Toujours début décembre 1996, le lendemain….

* Il fait chaud…Tellement chaud subitement. Mes mains…Je les sens de nouveau. Mais il fait sombre…Tellement sombre… Suis-je mort ? *
Une lumière blanche m’aveugla. Je n’étais pas mort, non, j’avais simplement ouvert les yeux, et à ma grande surprise. J’étais alité et enroulé dans 3 couvertures. Un homme se tenait près de moi. Ce genre d’homme a la barbe dure et brune, qui nous fait tout de suite penser à un bûcheron ou un homme des cavernes. (Imaginez Chabal en version asiatique.)
Je me souviens de son visage illuminé par le feu de la cheminé, un visage tellement chaleureux qui m’avait tout de suite rassuré.
« Cava petit ? » me lança t-il ?

Je ne sus que répondre. J’étais encore sous le choc, et je ne me souvenais de rien, rien depuis cet instant dans la neige.
Une jeune et jolie brune entra dans la pièce, un plateau en main. Dessus il y’avait de la nourriture ; un bouillon avec un morceau de pain. Elle le déposa sur mon lit en me demandant mon nom. Je me souviendrais toujours de ces yeux bleu océan, ils étaient si beaux.
Comme je vous l’ai déjà dit plus haut, à ce moment la je ne savais pas du tout que j’étais Ren Okazaki, alias Sa majesté…
Donc je suis resté muet devant elle aussi. Je pense qu’à ce moment là ils se sont demandés si je savais parler. Ils ont vite compris que oui.

Journal de bord. Le 12 mai 1997.

Je vivais maintenant à Windham Mountain, un patelin paumé dans l’état de New York. Vous savez, cet Etat à la frontière du Canada, la ou il fait bien froid.

C’était peut-être perdu, et il faisait peut être très froid mais, c’est un coin que j’ai beaucoup apprécié. Il faut avouer que c’était vraiment magnifique, cette neige à perte de vue, les cascades glacée en hiver…Un très joli coin vraiment, allez y faire un tour a l’occasion !
Mes nouveaux parents étaient américano-japonais. Hikaru Okazaki, mon père et Nina Redfield, ma mère.
Le printemps arrivait, le jardin commençait à fleurir, de belles petites fleurs blanches qui nous rappelaient la couleur si pure de la neige, qu’on ne reverrait plus avant un petit moment. Ce jour la mon père m’as inscrit au karaté pour m’endurcir l’esprit. Je pleurais trop à son goût.
A ce jour je suis ceinture noire et champion du Japon, dans ma catégorie.

Journal de bord. 1er novembre 2003

Je fêtais mes 13ans avec ma nouvelle famille. J’étais maintenant très bien intégré et très attaché a eux.
Ce jour la j’ai été profondément bouleversé par ce que j’ai entendu. Je sortais du garage car j’étais allé chercher mon ballon de football. En entrant dans la maison mes parents se querellaient. Apparemment je leur faisais trop de frais. Décidément en y repensant je n’avais jamais servi à rien. Ah si…A causer des soucis.
« - Ce pauvre môme, ses parents l’on traité comme un clébard ! Ils on fait des expériences horribles sur lui et l’on ensuite abandonné dans la neige. C’est ignoble ! On ne peut pas faire subir la même chose a ce p’tit sous prétexte qu’on a plus de sous !
- Hikaru…Tu parles de ses parents biologiques ou de ses parents adoptifs ? Je ne te suis jamais quand tu parles de ça.
- Je parle de ces savants fous ! voyons ! »

Ces deux ou trois phrases m’avaient suffit. Mes parents n’étaient pas mes parents. Les précédents parents dont je ne me souvenais pas à cet instant, non plus. Et mes « vrai » géniteurs je ne les connaissais pas.
C’est alors le jour de mes 13 ans que je fis ma première fugue.
J’ai disparu pendant deux jours entiers sans même savoir pourquoi. Mon corps avait décidé de se révolter sans que mon cerveau puisse riposter.
Mes parents étaient morts d’inquiétude, moi je n’éprouvais rien. Plus de sourire, plus d’expression sur mon visage. Un légume en gros.
On a cru pendant un certain temps que j’étais malade. C’est vrai, même moi je ne savait pas ce qui me prenait. Comment aurais-je pu deviné que j’étais amnésique ?

Journal de bord. 27 novembre 2003.

Je ne parlais plus depuis maintenant une semaine.
Mes parents amenèrent un médecin, mais il ne trouva rien d’anormal. Ils décidèrent donc de me faire faire des analyses.
Comprenez les, ils ne s’imaginaient pas du tout que j’avais entendu leur discussion concernant mes origines.

Journal de bord. 1er décembre 2003.

Le jour des résultats des analyses. Le médecin était venu nous les rendre en main propre, l’air grave.
J’étais dans ma chambre, à l’étage je n’entendais pas bien ce qu’ils disaient. Curieux comme je suis, j’étais descendu discrètement, pour écouter ce qu’ils disaient. Je me rappelle être arrivé en plein milieu d’une phrase qui m’a bien marqué.
« Donc, votre fils est immunisé contre toute maladie…Que se soit un rhume ou le Sida, il ne tombera jamais malade. »
Mes parents restèrent bouche bée, et moi de même. Quelques minutes plus tard mon père lança
« Vous dites que mon gamin est un mutant là ? »
Mon père est très réputé pour être très…comment dire…direct.
« Je ne dirais pas mutant, mais plutôt une exception très rare. Je dois vous demander de l’emmener au plus vite dans un laboratoire d’expérience scientifiques pour que l’on effectue des tests. »

Test, scientifiques, expériences, laboratoire…Ce jargon me rappelais des souvenirs. J’étais encore amnésique mais ces mots on produit un électrochoc dans mon cerveau. J’allais partir en courant mais la phrase que mon père lança me surpris.
« - Je n’emmènerais jamais mon fils dans un labo ou je ne sais trop quoi d’accord ? Peut importe ce qu’il est mon fils reste mon fils. Je n’ai pas envie de traumatiser mon gamin pour les beaux yeux de la science ! Alors maintenant vous allez me faire le plaisir de décarpiller en vitesse en oubliant tout ce que vous avez découvert. Suis-je clair ?! »

Je crois que mon père faisait très peur à cet instant. Le médecin a détalé en courant et n’a plus jamais redonné signe de vie.
Des fragments de ma mémoire me sont revenus petit à petit.
Mes parents adoptifs m’avaient confié des choses aux sujets de mes parents biologiques. Ma mère m’avait abandonné chez eux, parce qu’elle était une putain tombée enceinte, et qu’elle ne pouvait donc pas me gérer. Je me suis aussi souvenu que j’étais un enfant illégitime, mon père était un homme marié qui prenait juste du plaisir avec ma mère. Et cet abruti l’a mise enceinte, donc je suis né.
Ils étaient Américano-coréens. Je n’ai donc rien de japonais dans le sang, c’est juste mon nom qui l’est.

Spoiler:

Journal de bord. Avril 2006.

Après de longues années de réflexions, j’avais décidé de venir étudier au japon. Pourquoi au japon ? Sûrement parce que c’est le pays natal d’Hikaru Okazaki, mon père. Je voulais aussi a tout prix partir des Etats Unis, qui m’ont porté la poisse toute mon enfance. De plus au japon les études sont supérieures a celles des Etats-Unis d’après ce que me disait mon père, alors c’est la bas que je suis allé.
La rentrée scolaire ne se passa pas du tout comme je l’imaginais…
Mon premier pas a la Yami-Gakuen était…mémorable. Une horde de fille se précipita vers moi en piaillant des « whaooouuw il est magnifique ! »
On ne m’avait jamais accueilli ainsi. Durant les premières semaines, j’ai eu du mal a m’habituer a voir mon casier déborder de lettres d’amour, de cadeau et de confiseries.
Néanmoins, cette nouvelle vie me plaisait. Ce succès me convenait parfaitement, moi un enfant qui n’a jamais été désiré par personne. Je me suis donc pris au jeu, petit a petit mais c’est vite devenu naturel.

Journal de bord. Octobre 2006.

Cela faisait maintenant 6mois que j’étais à la Yami-Gakuen.
J’avais parfaitement intégré la peau de mon personnage. Ca n’a pas été très difficile, je suis quelqu’un qui aime être aimé et désiré, alors c’est un plaisir de faire crier les filles en leurs lançant des baisers imaginaires.
Mon fan club s’agrandissait de jours en jours, et moi j’en étais ravi.
Les autres garçons étaient jaloux, mais bon après tout ce n’est pas de leurs fautes si ils ne sont pas aussi parfaits que moi. Bref, c’est à cette époque que je suis devenu si narcissique, a un tel point, que d’ailleurs en y repensant je ne suis jamais sorti avec une fille sérieusement…la plupart ne sont pas assez bien pour moi. Non pas qu’il y’ ait que des thons à Yami hein…

Journal de bord… 26 juin 2007.

Ma première année, et mon début de seconde se sont très bien passés. Tellement bien que ca en devenait étrange. C’est vrai ! Quelqu’un de si poisseux que moi, qui mène une vie si parfaite…
C’était trop calme. J’étais bien moi, mais il a fallu que je découvre des choses. Je n’étais pas au bout de mes surprises.

Ce jour la, je sortait de 3heures de TP. J’étais le délégué de ma classe, alors je suis resté parlé avec le professeur. Quelques minutes plus tard celui-ci s’en alla. Je suis donc resté seul dans le laboratoire, car j’avais un dossier à finir. Je pris place sur l’une des paillasses et sortit mes affaires. Il était tard, dans les 20heures, la nuit était donc déjà tombée.
J’ai travaillé tranquillement pendant environ une demi heure quand tout a coup je vis une silhouette se dessiné devant la porte. Un homme de même taille que moi, et dans le même style m’épiais. Sur le coup je me suis dit que c’était un membre de mon fan club (NDA : et oui il y’a même des hommes qui sont fan du prince de ce château !), ou bien une brute qui voulait me casser la figure parce que la fille qui lui plait est amoureuse de moi. En faite, ce n’était rien de tout ça …

« Tien donc…Ren Okazaki…Que faites vous ici a une heure si tardive, votre majesté ? »
Cette voix ne me disait rien…Ce tont ironique m’hérissa le poil. En fermant mes cahiers, je me suis retourné vers cette voix masculine. A ma grande surprise…Il me ressemblait comme deux gouttes d’eau. A cet instant mes yeux sont sortis de leurs orbites, et je me suis levé précipitamment.

« Qui est-tu ? » lançais-je l’air affolé.
Cet homme ricana un long moment, puis il me répondit sur un ton plein d’ironie.
« Ton frère jumeau, Ma-Je-Sté. »
Mon souffle était coupé. Je n’ai pas pu lui répondre. Je pense qu’il avait bien compris que j’étais sous le choc, alors il enchaîna :
« Calme toi, mon frère. Tu sais j’ai beaucoup peiné pour te retrouvé. Mais maintenant on est enfin réuni ! »
Il s’approcha de moi, et tenta de m’enlacer. J’eut une réaction assez brutale, alors il comprit qu’il devait prendre un peut de distance.
Il ma parler pendant au moins une heure. C’est ce jour la que j’ai appris que ma mère biologique ne nous avait pas abandonné, mais qu’elle nous avait vendu a des scientifiques.
Apparemment notre mère nous aimait de tout son cœur, mais elle manquait tellement de vivre, qu’elle fut obligé de nous vendre, pour notre bien, pour qu’on ne grandisse pas dans la misère.
Notre père biologique était journaliste.
Ma mère était son amante, et comme elle l’aimait il faisait d’elle ce qu’il voulait. Donc comme monsieur n’aimait pas se protéger lors de leurs rapports, ma pauvre génitrice s’est retrouvée avec une paire de bébé dans le ventre. Elle n’avait même pas les moyens d’avorter, donc on est venu au monde.
Mais ce n’est pas tout.
Mon cher frère est très bien renseigné.
Notre père biologique avait donc une autre femme. Et il a eut une fille avec elle un an après notre naissance. J’ai donc une petite sœur : Une certaine Nahis Akashiya.
Tout d’un coup, la famille s’agrandit n’est-ce pas ?

Mon frère ne vivait pas à Tokyo, mais à New York. Il s’appelle Ryo.
Après avoir apprit tout ça, j’était tellement en colère contre tout ces gens qui m’avaient menti, que je n’ait pas pu me contrôler…Je me souviens avoir saisi le tabouret de la paillasse qui se trouvait juste a coté de moi, et de l’avoir jeté contre la vitre qui a ensuite explosé. Ce n’est vraiment pas dans mes habitudes d’agir ainsi. Perturbé, je me suis assis puis recroquevillé sur moi même. C’est a ce moment la qu’en levant les yeux j’apercut une fille de mon fan club, la planté comme un poteau devant la porte de la salle. Elle est partie en courant.

* Et merde, voilà ma réputation est ruiné…* me suis-je dit. J’ai eut tellement peur que je n’ait même pas osé retourné en cours le lendemain. Mon frère est ensuite rentré chez lui. Depuis on se revoit assez souvent.

Journal de bord. 1er juillet 2007.

Comme j’étais délégué, je restais souvent tard dans l’académie, pour faire le planning du mois, préparer un conseil de classe. Et un jour, des filles traîner dans les couloirs. Comme il était plus de 19heures, j’allais les rappeler à l’ordre et les faires retournés dans les dortoirs. Mais, au moment ou j’allais agir, l’une d’elles en appela une autre.
« Nahis ! Dépêche toi de venir ! Si sa majesté nous croise dans les couloirs, j’aurais la honte de ma vie ! »
Nahis ? Comme ma petite sœur ? Un nom si peut commun…C’est impossible ça serait-elle ?
Une voix douce et chaleureuse répondit en chuchotant.
« Oui ! Désolé j’arrive ! »
Une jeune fille aux cheveux longs passa devant ma salle en courant. Elle me lança un regard furtif sans s’arrêter dans sa course. Je suis resté un long moment sans voix. Puis je me suis précipité a l’administration pour fouiller les dossiers des élèves. Je n’avais pas le droit d’être la, alors en me dépêchant je recherchait le nom Akashiya.
« Akashiya, Akashiya…Non…j’hallucine… »
« Dossier de l’élève Nahis Akashiya. Deuxième année de lycée [….] »
Ma sœur était dans mon lycée et je ne l’avais même pas remarqué…quelle honte ! Mais j’étais trop fière pour allé me présenter devant elle ainsi.
*Il est aussi possible qu’elle ne sache pas que j’existe* Songeais-je.

Journal de bord. 24 Mai 2009.

La rentrée des troisièmes années s’est déroulée sans encombre. Et ce jour la, on allait voter pour le président du comité de l’association des élèves. Bien entendu je ne m’étais pas présenté, ce genre de travail est vraiment trop éprouvant pour quelqu’un d’aussi flémard que moi.
Personnellement, j’avais voté pour un certain Suzuki Satoshi, un mec qui avait l’air posé et digne de ce poste. J’avoue que j’ai voté un peut au pif.
Trois heures plus tard, on a tous été convoqué dans l’amphithéâtre pour nous annoncer qui serait notre nouveau président. Je me foutais pas mal de ces histoires moi, j’était la car il le fallait. Puis je me rendis compte que toutes les filles regardaient vers moi bizarrement. Et dès que je croisais leurs regards, elles le détournaient en ricanant. Aussi quelques mecs, me scrutaient avec une lueur dans les yeux…Etrange.
Le moment était enfin venu d’annoncer la nouvelle. L’ex président s’avance et s’exclama dans le micro.
« Je vous maintenant qui va être votre nouveau président…Avec plus de trois quarts des voies des élèves, c’est….Ren Okazaki !!! »
…………………………….
………………………………………………………………
Toutes les filles se mirent a hurler, et a se sauté dans les bras. Moi je suis resté bouche bée…J’était assis la…Franchement j’avais l’air con. J’étais loin de me douter de ça ! Un de mes amis me fit une tape sur l’épaule et dit :
« Aller Ren ! Te fait pas prié ! C’est pas de ta faute si t’es aussi aimé, alors assume et va leurs faire un discourt. »
Je crois que je l’ai regardé méchamment…
« Hey respire ! Tu me fais flipper quand tu me regardes avec cet air… »
« Quelle galère… » Me plaignis-je.
On ma ensuite appelé et j’ai du monté sur scène pour faire un discourt. Je ne savais pas trop quoi dire, mais quand je me suis rendu compte a quel point les filles été fasciné par mon élection, j’ai vite trouver quelques mots pour les baratiné. A la fin elles on hurlé comme jamais, c’était génial ! En réfléchissant, je me suis dit que c’était une bonne chose que je devienne président, après tout c’est le rôle le plus haut dans la hiérarchie chez les élèves, et ce rôle me conviendrait parfaitement.
C’est a ce moment la que je suis devenue officiellement « Majesté ». Avant, seulement les filles de mon fan club m’appelaient ainsi. Maintenant c’est tout le lycée.
Il y’avait des roses accrochés au plafond, sous formes de guirlandes. En m’appuyant sur une table, j’ai sauté et attraper un bouquet au passage. J’ai ensuite envoyé des roses dans des directions différentes, sur les filles les plus mignonnes. Elles se battaient pour les attraper…C’était adorable !

Journal de bord. Octobre 2009.

Des rumeurs commençaient a circulé dans notre établissement. Certes des rumeurs c’est banal, mais celles ci étaient troublantes. C’est le genre d’histoires lugubres que je déteste. En tant que président de l’association, je me devais de calmer les choses.

Les rumeurs s’estompèrent.

Quelques temps plus tard, a la période d’halloween, des amis a moi on fait une soirée. J’était invité, mais comme j’avais trop de boulot je n’ai pas pu y aller. Heureusement, apparemment.

Journal de bord…1er novembre 2009…

Le 1er novembre...Cette date ne vous rapelle rien? Mis a part la fête des morts...Non? C'est mon anniversaire voyons!
Comme je m’y attendait, les filles du fan club avaient organisé une fête « spéciale moi ». Au rendez vous il y’avait une vidéo documentaire a mon sujet, retraçant tout mon superbe parcourt, des expositions de mes dessins, et j’ai du faire une démonstration du kata* pour passé la ceinture noire. Pour ajouter un peut plus d’effet, j’ai effectué cette démonstration torse nue. Je crois que les filles ont explosé le record de décibels, que mes tympans ont entendus dans toute ma vie. J’ai eu des tonnes de cadeau, des chocolats et des lettres d’amours.
Pas mal de filles on tenté leurs chance pour avoir un rancart.
J’en ai choisi trois et on a décidé de faire la fête après les cours: Une brune, une blonde et une rousse.
Bien entendu, c’était juste pour m’amuser, quelqu’un d’aussi beau que moi ne peut pas se permettre d’avoir une relation sérieuse.
Une fois la fête finie, je suis retourné en cours. Un des amis avec qui je devait faire la fête la veille n’était pas en cours…Je me suis dit qu’ils avaient peut être fait une soirée trop arrosé et qu’il ne se sentait pas de venir.

Mais les jours passèrent et il ne donna pas de signe de vie. Quand je suis allé demander a mes amis ce qu’il s’est passé lors de cette soirée, ils ne m’ont pas répondu. Ils avaient un comportement si étrange…Comme ces gens dans les films d’horreurs quand ils sont possédés. Ca me fait froid dans le dos.

* Dans les arts martiaux, enchaînements de positions et de prises constituant une démonstration pour passé au grade suivant.

Journal de bord. 10 novembre 2009

La poisse se met de nouveau à me poursuivre. J’ai maintenant 18ans, et l’affaire de la disparition de mon ami s’est amplifiée. Ce n’est maintenant non pas un élève qui a disparut, mais toute la bande qui a fait la soirée d’halloween. Même si j’étais perturbé par cette histoire, en tant que président du CAE, je me devais de rétablir l’ordre. Aidé de l’administration, j’ai tenté d’étouffé cette affaire pour pouvoir enquêté tranquillement de mon coté.
On verra bien ce que l’avenir me réserve…Espérons que je ne disparaîtrait pas moi aussi. Mes fans risqueraient de déclancher la troisième guerre mondiale ! * rires *

Sa Psychologie.

Spoiler:

Description Mentale :

Ren est, dit-on, est le reflet de la perfection, aussi bien physiquement que moralement. Mais qu’en est-il de la réalité ?

Extrait d’une lettre d’amour, écrite par une anonyme.

« Votre majesté, je sais que je n’ai en aucun cas le droit de vous dire cela, mais je ne peut m’en empêcher. Je vous aime ! Je vous aime tellement ! Chaque nuit vous hantez mes rêves et pensée. Je n’arrive plus a me concentrer, vous m’obsédez…Demain je vous attendrais devant le gymnase, venez s’il vous plait. »
Quand Ren lu cette lettre, il ne put s’empêcher d’éclater de rire et de sortir une réplique idiote :

« Ha ! Je suis si magnifique ? Mon dieu, pourquoi avez vous décidé de créer la perfection ? N’est-ce pas un pêché ? Suis-je un pêché ? Comme ce fruit défendu qu’on goutté Adam et Eve ? »

Ren est très narcissique. Il s’aime et ça se voit. Ce n’est pas non plus ce genre de personne qui passe 35minutes devant son miroir, mais il sait qu’il est beau, alors il adore faire tourné la tête des filles. Si ce jeune homme devenait laid du jour au lendemain, il ne survivrait sûrement pas. Si Ren perd ses fans, Ren meurt. Mais il est tellement aimé dans ce lycée que ce jour n’est pas près d’arrivé.

Extrait d’une lettre envoyée par « une fan. »

« Okazaki-sama, Vous êtes si gracieux, si courtois, quand je vois votre air si léger, je retrouve espoir et joie de vivre, je sais que ça peut paraître bête, mais il y’a vraiment quelque chose de particulier qui se dégage de vous. Allégresse, sympathie, détermination…Je ne saurais trop vous expliquer. »
« Oui, oui je sais déjà tout ça, Kimiko-chan…Tu pourrais changer de disque un peut ? »

Ce genre de phrases ironiques n’est pas réellement pensé. En réalité, les sentiments de ses fans touche beaucoup Ren, et il fait toujours de son mieux pour les respecter au maximum. Il déteste blesser les gens, aux contraire, il adore rendre service. Ren est quelqu’un de vraiment gentil, malgré son coté idiot.
Alors, aux premiers abords, Ren peut se montrer particulièrement aimable, calme, à l’écoute des autres… C’est bel est bien dans son caractère, mais ces sentiments contribuent plus ou moins directement à en masquer d’autres.

Extrait du journal intime d’une fille du fan club de Ren.

« Ce qu’il s’est passé aujourd’hui m’as profondément choqué. Si je m’attendait a un tel comportement venant de sa Majesté…Je sais pas si je devrais le dire aux autres…C’était en sortant des cours, près du labo des sciences. Sa majesté se tenait la, debout dans la salle avec quelqu’un en face de lui. Je ne saurais dire qui c’était mais il me semble qu’il lui ressemblait beaucoup.

Sa majesté s’est mis à crier très fort, il a ensuite saisi le tabouret de la paillasse qui se trouvait a proximité et l’a balancé sur la fenêtre, qui a ensuite volé en éclat. Je suis resté immobile pendant quelques minutes. Puis sa Majesté s’est recroquevillé sur lui même ne disant plus un mot. Tout a coup il a levé les yeux vers moi, son regard était si sombre, j’ai eu tellement peur alors je me suis enfuie, courant a en perdre haleine. »

Ren n’est pas un surhomme. Son calme n’est pas éternel. C’est quelqu’un de fort mentalement, il est difficile de l’effleurer, mais quand on touche une corde sensible, il peut se montrer particulièrement instable, aussi difficile à contrôler qu’à calmer. On pourrait le comparer à un chat sauvage : il ne se laisse pas approcher et peut se montrer odieux.

« - Ce pauvre môme, ses parents l’on traité comme un clébard ! Ils on fait des expériences horribles sur lui et l’on ensuite abandonné dans la neige. C’est ignoble comment peut-on faire ça a un gamin ? […]

-Hikaru…Tu parles de ses parents biologiques ou de ses parents adoptifs ?

-Je parle de ces savants fous ! voyons ! »

Depuis ce jour, le cœur de Ren s’est empli de haine, sa rage devenait incontrôlable, l’idée de tuer lui traversa l’esprit pour la première fois.

Ainsi, le jeune homme a un coté très sombre, qu’il ne montre jamais, ou presque. Ce coté reste précieusement enfouie dans une partie de son cœur. Une partie qu’il ne désire pas mettre au jour, une partie qu’il aimerait supprimer, une partie qu’il ne peut pas toujours contrôler.

Autre : [NDA : Ren a la phobie du sang. Le fait d’en voir ne serais-ce qu’une goutte peut lui déclancher un malaise. C’est un désavantage pour lui qui est en section scientifique. C’est un secret hein alors chuuut il ne faut surtout pas le dire, car ce monsieur en a très honte !
Ren : * en mode énervé* : dis donc ! Tu te sens obligé de raconter ça aux lecteurs ? Quel auteur stupide…Ca va nuire a ma réputation !
Auteur : Hum…mon personnage est vraiment insupportable…Bref ! La suite.

Son Physique.

Spoiler:

Description Physique : Ren est le genre d’homme que tout le monde pourrait trouver parfait.

Il n’a pas du tout ce genre de corps massif et super viril, comme la plupart de ses collègues au club de karaté, mais plutôt un corps assez fin et bien dessiné. Quand on le croise, on ne s’imagine pas du tout que c’est un grand champion d’arts martiaux. Sa délicate musculature en fait craquer plus d’une et c’est bien pour cela qu’il adore s’afficher : laissant toujours la chemise de son uniforme déboutonnée il se fait souvent réprimander par les surveillants et professeurs. La cause ? La vue du corps du jeune homme chez les jeunes filles en fleurs déclanche bien des émeutes, ce qui déstabilise beaucoup l’administration et l’ordre à la Yami Gakuen.

D’ailleurs, le tatouage en forme de dragon qu’il a sur la partie gauche de son torse lui apporte quelques problèmes. Si ses résultats scolaires n’étaient pas si bons, et si il n’était pas président de l’association des élèves de ce lycée, il se serait probablement fait exclure…

Il mesure 1m83, sa grande taille est un atout de plus pour lui, autant dans son sport que pour plaire. Par contre il ne pèse pas bien lourd, environ 67kg, ce qui lui donne un air assez frêle qui lui déplait. Il aura beau manger autant qu’un ogre, apparemment sa morphologie ne désire pas lui faire prendre un seul gramme.

Son style vestimentaire, en dehors des cours ne varie pas. Il aime porter des vêtements qui mettent son corps en valeur. Il privilégie souvent les débardeurs, chemises et jeans tailles basses, toujours accompagné de belles ceintures.

Ren n’aime pas les couleurs trop voyantes, malgré sa tendance extravertie, il préfère la sobriété, comme le noir par exemple.

Autour de sou cou, règne un collier en or blanc qu’il ne retire jamais. Celui-ci ayant pour pendentif une petite chaîne qui ne représente rien de spécial.

Ses cheveux, coupés en dégradés, tombent a la fois sur son front et sur ses épaules. Il a tendance a ramener ses longues mèches sur son torse. Il se coiffe en dessinant de légères pointes sur les extrémités, et s’ébouriffe, pour donné un peut de volume à sa coupe. Néanmoins, il ne veut pas cacher son beau visage, ce visage caractérisé par une forme entre l’ovale et le carré. Alors, il rabat toujours sa frange sur le coté.

Doté d’une peau d’un blanc délicat qui lui donne un air pur, Ren a des yeux noirs ébène qui produisent un contraste avec sa chair porcelaine. Ils sont si percent, que l’on pourrait croire qu’ils lisent en nous comme dans un livre ouvert. Assez bridés, ils nous rappellent que Ren est à moitié coréen. Son regard est parfois très expressif : il observe d’un air doux et passionné, du moins pour les gens a qui il accorde de l’importance ou alors, quand il charme une jolie fille. Par contre quand il considère que son interlocuteur n’en vaut pas la peine, ou quand il se déplace dans le lycée son regard est très froid, voir parfois blasé…Et c’est malheureusement ce regard la qui plait au genre de filles qu’il déteste…ces filles qui passent leurs temps a hurler dès qu’elles le croisent.

Son nez n’est pas du tout imposant, il est même assez petit. Sa bouche, pas spécialement imposante elle non plus, cependant sa lèvre inférieure, un peu rebondie, lui donne encore plus de charme. C’est d’ailleurs un garçon très gaie et enjoué d’apparence, il use donc souvent sa belle rangée de dents blanches pour charmer son entourage… Et apparemment ça marche, car a ce jour personne n’a résisté à son sourire ravageur.

Dernier détail, son oreille droite est percée, portant un anneau décoré de petites pierres noires en bijou. C’est le seul piercing qu’il possède.

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Jeu de Rôle.

Exemple de RP :

Un matin comme un autre, Ren s’éveilla dans les environs de 6h. C’est bien tôt, mais notre majesté régionale avait bien du travail à l’association.
Comme d’habitude, il soupira, enfila sa robe de chambre et se dirigea vers sa kitchenette pour se servir un café.
Akiro, son voisin de chambre dormait toujours comme une pierre. Alors Ren s’efforça de faire le moins de bruit possible. Et bien sur, c’est toujours quand on tente d’être discret, qu’on l’est le moins.
Kuro, le chat de sa Majesté, sauta sur la table pour réclamer son câlin matinal. Mais, pendant sa course elle renversa la tasse de café de Ren…
En une fraction de seconde, la tasse avait valsé sur le sol.
Une tasse brisée, du café partout…La journée commençait bien.
Ren soupira et s’exclama.

« Eh merde ! J’en ai raz le bol de cette vie ! Pourquoi il faut toujours que tu fasses des conneries Kuro? »
La chatte se Ren se fichait bien de se faire grondé, elle se frotta sur son bras en ronronnant.
Une voix fébrile répondit sur un ton glacial.

« Parce que t’es idiot. Quelle idée de gardé un chat ici… »

C’était Akiro, son voisin de chambre.
L’avant bras devant les yeux, pour se protégé de la lumière du soleil, il soupira et se retourna vers le mur pour se rendormir.
Ren se tut un long moment. Puis il répara ses dégâts et fila en vitesse dans la salle de bain. Cette histoire de café l’avait mis en retard.
Il se doucha et s’habilla en vitesse. Une fois prêt il fila au bureau, une pille de documents en main.
Pendant sa course, il songea :

*Aie, c’est vraiment mauvais signe quand la journée commence ainsi.*
Et c’est précisément a cet instant, que notre cher poisseux bouscula une jeune fille dans les escaliers. La tonne de documents qu’il transportait s’éparpilla sur toute la surface du couloir.
Ren leva les yeux, et avant même d’avoir regardé la personne qu’il avait bousculée il dit sur un ton blasé :

« J’en était sur, aujourd’hui, ça va être ma fête… »

Puis il se retourna, afin de s’excuser auprès de sa camarade, mais une vision troublante le déstabilisa.
Au lieu de demander pardon, comme il l’aurait fait a son habitude, Ren ne prononça pas un mot. Il épia la jeune fille et se releva brusquement.

* Pourquoi elle ?! * songea t-il.

La jeune fille le regarda, l’air interrogateur. Puis elle soupira avant de se relever.
Ren, sans la regarder s’excusa, se releva et s’en alla pour ramasser ses documents.
Cela fait, il se précipita dans son bureau, s’écroula sur sa chaise et pris sa tête entre ses mains.

« Non ! La honte ! Quelle honte ! »

Vous l’aurez peut être deviné, mais la jeune fille que Ren avait bousculé était Nahis Akashiya, sa petite sœur.
Ren repris son calme. Il commença son travail.
Une demi-heure plus tard, quelqu’un frappa à la porte de son bureau. Le nez plongé dans sa paperasse, Ren prononça un léger « entrez » sans vraiment porter d’attention a la personne qui frappait.
La porte grinça, et une voix familière demanda.

« Excusez moi…Euh…Je viens parce que je dois récupérer le formulaire pour les sorties scolaires. »

Ren leva les yeux. C’était sa petite sœur. Décidément, le destin voulait que Ren passe une journée cauchemardesque.
Déstabilisé, il ouvra son tiroir et le mis sans dessus dessous avant de trouver le document qu’elle recherchait.

« Euh ! Oui…Voilà ! Il est la ! » Il prononça ces phrases d’un air gêné.
Nahis avait bien remarqué que quelque chose clochait. Alors elle demanda.

« Euh…C’est a cause de la bousculade de ce matin que vous me parlez ainsi ? »
Ren se gratta la tête et répondit

« Euh…Euh…Non pas vraiment. » Dit-il en essayant de sourire.

« Alors, qui a t-il ? » Enchaîna Nahis.

« Rendez vous a la cafeteria a 17heures. J’ai quelque chose a te dire. Allez file maintenant ! »

Nahis leva un sourcil. Elle se demanda ce que sa Majesté pouvait bien lui vouloir. Puis dès qu’elle pensa au fan club de Ren, elle soupira.

« Je veux pas avoir ces folles sur mon dos… » Dit-elle sur un ton désespéré.
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La journée passa, il était maintenant 17heures. Nahis était déjà devant la cafet, et Ren n’était toujours pas la. Elle patienta un quart d’heure, Ren ne s’était toujours pas pointé.
Au moment où elle allait partir, une voix au loin hurla :

« Attend !!! »

Elle se retourna, Ren courait vers elle. Cette vision l’effraya. Si les filles du fan club avaient vu ça…
Ren arriva enfin devant Nahis. Il la salua et ils entrèrent dans la cafeteria.
Nahis le regarda droit dans les yeux, puis lui dit :

« Alors, que me voulait tu ? »

Ren resta silencieux quelques minutes et répondit.

« Euh…Déjà comme tu dois le savoir, je m’appelle Ren Okazaki…Voilà…Et euh…Comment dire…Tu as des frères et sœur ? »

Il grimaça. Sa réplique était peut être trop directe ?
Nahis leva un sourcil, et répondit sèchement :

« En quoi sa te regarde ? »

Ren sourira, et d’un air mélancolique il lui dit
« Je crois savoir que tu as deux frères jumeaux…Si je ne me trompe pas, tu ne les connais pas. »

Nahis écarquilla les yeux.
* Comment il sais ça ?* songea t-elle
Elle regarda ses pieds et se tut.

« Cette absence de réponse confirme ce que je disait je suppose. »

« Oui… » Murmura t-elle. Nahis n’est pas bête, elle avait bien compris que Ren avait un lien avec ses frères. Mais de la a comprendre que c’été lui.
Les deux jeunes eurent un moment d’absence.
Quelques minutes plus tard, Nahis regarda Ren, et l’interrogea :
« Tu les connais ? » Demanda t-elle avec une étincelle dans les yeux.[/size]
[size=12]Ren sourira, puis se mit à rire.
« Oh oui, je les connais…je les connais bien même. » Affirma le jeune homme sur un ton ironique.
Brusquement, La jeune fille se leva et se pencha vers Ren.

« Ou sont ils ?! » Demanda-elle l’air perturbée.
Ren la regarda droit dans les yeux, et d’un air calme il murmura :
« L’un des deux se trouve juste sous tes yeux… »

Fin.

[ désolé c'est écrit a l'arache Neutral

]

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Le Rôliste.(facultatif)
Surnom(s) : Flash gordonne, Messi… et d’autres que je ne souhaite pas citer…
Age : 98 ans
Comment avez-vous découvert le Forum ? : Cette chère Yuka (L)
Avez vous lu le règlement? : Oui, et en dansant la macaréna en plus!
Autres : No comment.

Une bien longue histoire, heureusement qu'on accroche facilement, le personnage y est très bien développé et j'ai hâte de voir l'issue de cette histoire (par contre je n'ai pas pris le temps pour voir si l'orthographe était correcte).
Bonne continuation votre Majesté !

Cordialement, Akiro.

HoHo Enfin tu postes ta fiche !
Et bien... C'est hyper mal écrit! tu oses poster un truc pareil !! O_O

Hahaha! Non je déconne bien sur =o="

Très belle fiche super agréâble à lire!! Vous avez bien construit vos histoire Nahis et toi, elles coincident à merveille!

Bon corrige rapidement le petit paragraphe ci dessous dans lequel tu mélanges passé simple, imparfait et passé composé, ce qui est assez...surprenant.

"Cette voix ne me disait rien…Ce tont ironique m’hérissa le poil. En fermant mes cahiers, je me suis retourné vers cette voix masculine. A ma grande surprise…Il me ressemblait comme deux gouttes d’eau. A cet instant mes yeux sont sortis de leurs orbites, et je me suis levé précipitamment."

Up =)

Première Messages : 55 Date d'inscription : 24/04/2009

*Se fait lyncher pour avoir traité le Prince de feignant*